J’ai demandé un transfert d’université au second semestre de ma L1, en invoquant une mutation de mes parents. En réalité, j’étais profondément lassée par le climat qui y régnait : l’absence régulière de cours, la peur suscitée par certains groupes radicaux qui intimidaient les étudiants souhaitant étudier, et le sentiment d’un discours politique omniprésent, parfois même tenu par des enseignants, notamment en faveur de Jean-Luc Mélenchon. Si l’on ne souhaite pas réellement travailler, c’est une voie possible : les exigences y sont moindres qu’ailleurs… mais la réputation l’est tout autant.