Une douzaine d'appels dans le vide et un service RH qui ne prend que les messages sur un répondeur, voilà une université difficile à joindre (j'ai presque réussi à mémoriser le message d'attente en breton). Il est tout aussi délicat d'être payé lorsque l'on y enseigne comme vacataire ; des cours démarrés en octobre 2023, toujours en attente de rémunération au 2 avril 2024. Le prétexte d'un dossier incomplet qui tombe à pic en février et une charmante interlocutrice aux RH : "Mais vous avez un travail à côté, vous n'êtes pas pressé. Les juristes vous vous prenez pour qui ?". Souhaitons aux contractants de cette dame et de cette institution de recevoir un peu plus de considération.
Heureusement, les instances et composantes déconcentrées sont bien plus aimables et efficaces.